On a l’impression avec cet albariño bien sec et mordant de boire un melon de bourgogne gonflé aux stéroïdes. Avec ce profil large évoquant les arômes salins de bord de mer, le céleri et le paprika, sans compter une bouche intense, soutenue, nerveuse et, oui, hautement sapide et minérale. Poissons grillés ! (5)
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https://www.ledevoir.com/vivre/vin/635037/le-blanc
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