On dit d’un vin qu’il cerne rapidement son origine. Cet albarino tranche déjà par le ton employé, laissant les embruns marins de l’Atlantique porter à l’intérieur des terres la moiteur et la salinité ambiantes. Les granites en sous-sol font le reste, resserrant les saveurs et amplifiant les amers sur la finale. Crustacés, cela va de soi ! (5) Explication des cotes
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